Mailie se réveilla un matin comme tout les autres en ne sachant trop que faire de sa journée. elle s'assit sur le lit et s'étira, elle se leva et regarda par la fenêtre, il y avait encore des enfants qui jouaient devant sa demeure elle n'y porta pas attention, en autant qu'il n'entrait pas sur son terrain. elle se dirigea vers la cuisine, et ouvrit une armoire. Elle y sortie une miche de pain et la mit sur la table de bois placée au centre de la pièce elle sortie ensuite une confiture de fraise el la déposa aussi sur la table.Elle s'assit sur une chaise en regardant par la fenètre et elle prit dans sa main un bout de pain qu'elle trampa dans la confiture, puis elle le mangea. Elle fit chaque fois le même mouvement jusqu'elle n'ait plus faim. elle se leva et retourna a sa chambre elle enlevas sa chemise de nuit et mit sa robe noir,celle qu'elle préférait . la jeune femme sortie a l'extérieur et alla derière sa maison. elle s'arrêta devant un pommier et cueillit trois pommes . Elle se facha un peu en voyant que sur son terrain il y avait comma a chaques matin des mauvais herbes sur la pelouse qu'elle allait encore devoir arracher.Un ballon arriva a ses pieds, et sans réfléchire, elle le fit voller et l'envoya très loin grace a sa télékénésie.elle regarda les enfants d'un aire sévert.
" sa vous apprendra a envoyer votre ballon sur mon terrainla prochaine fois vous irez jouer plus loin si vous ne voulez pas courire après votre jouet..."
Elle n'eut le temps de finir sa phrase que les enfant appeurés étaient déja partient a la recherche de se ballon. elle retourna a l'interieur et déposa les pommes sur la table. elle prit sa bourse et se dit a haute voix...
"bon que vais-je donc faire de ma journée aujourd'hui? je pourait d'abord commencer par aller prendre une petite marche et ensuite on verras bien...peut être devrais-je aussi aller a la taverne pour boir un petit vers et peut -être y rencontrer quelqu'un..."
elle resortie a l'extérieur et arracha les mauvaises herbes sur le bort du petit chemain de terre, avant de sortire de sa cour et de marcher droit devant elle sans pensée où elle allait aller.